Cela n'empêchera pas de constater l'ingratitude et l'égoïsme
des autres, mais sans amertume. On n'en souffrira pas.
* * *
Je préfère avoir affaire à un filou qu'à un imbécile : le filou on sait qu'il est filou et on peut se méfier. L'imbécile ne peut jamais prévoir ses réactions.
La saveur de la Vérité surpasse toutes les saveurs, Le délice dans la Vérité surpasse tous les délices, Celui qui a détruit la soif surmonte toutes les douleurs Dhammapada 354 |
On fait bien du bruit au sujet du passage à l'an 2000... de l'ère chrétienne. Comme si l'Univers avait été créé pour tourner au rythme de cette ère particulière.(*)
Pourquoi pas selon l'Egire ou l'ère tibétaine.
En 2000, selon notre calendrier, nous serons en 1420 de l'Egire, en 5760 pour le calendrier Juif , en CCVIII de l'ère républicaine et, pour les tibétains, nous serons dans l'année du Dragon de métal du XVIIème cycle.
Alors pourquoi imposer au monde cette date comme importante.
Il ne faut pas oublier que, dans bien des régions du monde ou les gens avaient leur propres religion et tradition adaptées à leur mentalité spécifique, les missionnaires chrétiens sont arrivés dans les bagages des soldats conquérants. Il en a été de même pour l'Islam qui, dans beaucoup d'endroit, s'est imposé par la terreur. Et il continue.
En 2580 de notre ére, si les hommes n'ont pas détruit
la planète avec leurs conneries, peut-être l'ensemble de l'humanité
sz verra-t-il contraint de fêter l'an 2000... de l'Egire ?
* *
(*) Notons au passage que la notion d'année
ne peut exister qu'en fonction de la planète Terre qui ne représente
qu'une partie infinitésimale de l'Univers Retour
Affin de démythifier cette date qui n'est qu'un jour dans la vie de la planète voici une trouvée dans l'Ouvrage de Alain DANIELOU " Le Destin du Monde d'après la Tradition Shivaïte" - Albin Michel - col. "Espacees Libres"
>>Selon le calendrier traditionnel indien toujours en usage, le Kali
Yugà (*)débute en 3102 avant J.-C. Si
nous acceptons cette date pour le début du Kali Yugà nous
obtenons le calendrier suivant:
(page 18)
(*) selon la théorie Hindoue des quatre âges de l'humanité, le Kali Yuga, l'Âge noir ou Âge de fer, serait quatrième Âge qui verrait la fin de la présente humanité. Il serait suivi, après destruction, de la naissance d'un nouveau manvantara, une humanité renouvelée . Pour en savoir plus, le mieux est de lire le bouquin de Daniélou .... <<<<O>>>> CHRONOLOGIE DU KALI YUGA Le Premier Millénaire (3100 à 2100 av. J.-C.) LA REVELATION SHIVAITE
Développement des cités de l'Indus et de la Mésopotamie
Le Deuxième Millénaire (2100 à 1100 av. J.-C.) LES PUISSANCES DESTRUCTRICES
LE RETOUR D'ARIHAT
LA RENAISSANCE SHIVAITE
LE DÉC Ll N
(pp. 224 à 227) |
Pour la protection à long terme des espèces, la Nature a institué la sélection naturelle. Afin de lutter contre la souffrance, l'Homme a inventé la Médecine. Tout serait donc pour le mieux, si la Médecine, outrepassant son but n'avait pas aidé à survivre, plus ou moins artificiellement, des individualités que la sélection naturelle, qui ignore le sentimentalisme humain, aurait éliminées sans pitié, ne leur permettant pas ainsi de transmettre à leur descendance des tares génétiques, source, à terme de nouvelles douleurs.
Du point de vue individuel, toute vie est précieuse, même celle des petits chats que tout un chacun élimine sans pitié pour éviter une trop grande prolifération de l'espèce féline. A fortiori, est précieuse la vie d'un enfant, atteint d'une maladie – génétique ou non. Insupportable sera pour les parents la perte de cet enfant. Mais si on le sauve, si on le fait vivre bien que la Nature l'ait condamné, ne risque-t-il pas de transmettre à ses enfants, s'il en a, les tares génétiques qui ont causé sa propre souffrance, créant ainsi de nouvelles causes de douleur.
Le faire vivre mais le rendre incapable de procréer – à l'instar des nazis de sinistre mémoire – ne serait-t-il pas encore plus cruel.
Les bigots de la " Religion de la Science " qui pensent qu'elle peut tout, même défier les lois de la Nature nous rétorqueront que les scientifiques, s'ils parviennent à guérir les maladies génétiques, parviendront bien à empêcher la transmission des tares qui les ont provoquées. N'est-ce pas un pari un peu risqué ? Décidément, la "bioéthique" est une discipline pleine de pièges.
Il y a de nombreuses manières de classer les individus. En ce qui me concerne je les répartis en deux grandes catégories : les Ouverts et les Fermés.
Les Fermés ferment tout : leur portes, à double tour, au cadenas, au verrou...Il ferment également leur porte-monnaie, leur cœur et leur intelligence. N'essayez pas de leur faire comprendre quelque chose ; ce n'est pas qu'ils soient bêtes, mais ils refusent d'ouvrir pour laisser entrer de nouvelles notions.
Les Ouverts, c'est l'inverse tout simplement.
Naturellement, entre les deux extrêmes ils y a une indéfinité de possibilités.
Fort heureusement, si une porte peut-être plus ou moins ouverte elle ne peut être que totalement fermée, plus ou moins fermée ce serait ouverte. Ainsi, fort heureusement, les totalement fermés n'existent pas.
C'est au contraire en analysant soigneusement, impartialement leur comportement afin de voir comment il prend sa source, soit dans une hypertrophie pathologique, soit dans une atrophie, non moins pathologique, d'un ego pollué par les trois poisons que sont l'ignorance, la convoitise et la haine, que l'on pourra, petit à petit, les comprendre, les accepter d'abord et peut-être plus tard les aimer.
En attendant, ce n'est pas une raison pour se laisser bouffer. Une fois bouffé, qui pourra comprendre, accepter et aimer les autres ?
Il est des cas où la compassion passe par les coups de pied au cul.
L'art épistolaire se perd : " On s'téléphone ". C'est ce que l'on dit, en réalité on s'oublie.
Ecrire une lettre, ce n'est pas plus long que de téléphoner, ça coûte moins cher et ça laisse des traces.
De plus on arrête quand on veut : on ne court pas le risque de se voir bloqué au téléphone par un correspondant qui, n'ayant généralement pas grand chose à dire, passe une heure à vous le raconter.
Si, au cours d'une compétition, l’un des protagonistes se montrait violent, ils disaient : " Mauvais mental ! "
Il ne faut pas confondre les forts avec les violents. Sauf lorsque la situation l'exige, les forts sont rarement violents. Celui qui est sûr de sa force n'a pas besoin d'avoir recours à la violence.
Les forts sont de la nature de l'eau : solides à l'intérieur et doux à l'extérieur _ Selon la tradition chinoise on dit : Yin extérieur et Yang intérieur :
On vient plus facilement à bout du feu que de l'eau : comme elle obéit toujours à la loi de la plus grande pente, il faut lui offrir un moyen de descendre encore plus bas.
Au fait, quel est le montant des dons au Téléthon des grands laboratoires pharmaceutiques, des fabricant de matériel de laboratoire ? Les appareils pour la recherche sont-il exemptés de droits de douane, de T.V.A. ?
– " Bonne question, merci de me l'avoir posée ! "...
Cela part d’un bon sentiment, mais suggère une réflexion
: que font les directions des grandes surfaces bénéficiaires
de l’augmentation de chiffre d’affaire, donc de bénéfice,
induite par ces collectes ? En font-elles don aux associations caritatives
qui les ont organisées ?
Personnellement, j’en doute : y a pas d’petit profit !
Si l'on considère ce qu'il restera le lendemain de ce somptueux repas, ça fait assez cher le kilo de merde !
Si les règles de la bienséance nous l'interdisent, c'est sans doute, dans le but inavoué, de laisser oublier à nous et aux autres, notre nature animale.
Imaginez la Dame très chic ou le Monsieur "bien sous tous rapports" prenant brutalement conscience qu'au fond ils partagent la nature animale du veau ou du pourceau, aïe ! Scandale.
Cependant, s'accepter aussi bien qu'en tant qu'animal qu'être pensant, voire spirituel, n'est-ce pas la sagesse.
Ce n'est quand même pas une raison pour "en rajouter".
Les hommes ont besoin de se raccrocher à quelque chose dans leur éternelle recherche du paradis perdu et tout leur est bon. Si ça leur fait du bien, après tout pourquoi pas. Si par ailleurs des "gros malins" en profitent pour en tirer profit c'est une affaire entre eux et leur conscience... dans la mesure où ils en ont une. "La connerie doit payer" avait coutume de dire mon copain François. Peut-être qu'à force de payer on finit, à la longue, par devenir un peu moins con. Z'y croyez ; vous à ça ? Moi je suis sceptique.
Mais attention, il y a grigri et grigri. Il y a ceux qui ne sont mis en circulation que pour exploiter la crédulité publique et les autres. Dans beaucoup de religions les ministres du culte délivrent à leurs ouailles des objets porteurs d'une certaine "influence spirituelle" (médailles bénites chez les chrétiens, noeuds de bons souhaits chez les bouddhistes tibétains, par exemple). A leur sujet je me montrerai beaucoup moins catégoriquement critique. Il est possible que ça fonctionne : bien sûr, ce n'est pas l'objet grigri qui possède un pouvoir magique, mais on peut penser que la conjugaison de la sincère bonne volonté de celui qui a béni l'objet avec la foi que met en lui celui qui le porte puisse engendrer une sorte de "climat psychologique" capable d'influencer son comportement dans la vie et, par voie de cause à effet, de "lui porter chance". On peut être raisonnablement sceptique sans pour autant se montrer systématiquement iconoclaste. Il est tout autant antiscientifique et, par conséquent, déraisonnable de nier sans être en mesure d'apporter la preuve irréfutable de la fausseté ou de l'impossibilité de ce qu'on refuse, que de croire sans preuve.
Faisons un petit calcul : si l'on ne remonte qu'au début de l'ère chrétienne – ce qui est peu, puisque l'homme serait paraît-il sur cette planète depuis plus d'un million d'années – en admettant trois à quatre générations par siècle, disons 3½ pour faire une moyenne, chacun de nous est le résultat d'environ 20x3½ = 70 générations. Ce qui donne 270 = 1,18059162071721 soit environ 118 milliards de milliards de personnes qui convergent vers notre petite individualité. Que peut-on conclure de ce petit calcul ? D'abord qu'il est statistiquement impossible que, dans tout ce monde il n'y ait pas au moins un Noir, un Jaune, un Arabe, un Juif, un voleur un homosexuel, un fils de roi, peut-être même un génie, qui sait, etc. etc. Donc nous avons bonne mine lorsque nous regardons avec mépris les gens de couleur, de culture ou de mentalité différentes des nôtres !
Ensuite se pose un problème que je parviens pas à résoudre : 118 milliards de milliards de personnes ça fait du monde, non ? Il n'y en a jamais eu tant à la fois sur terre alors, faut il conclure qu'il y en a pas mal qui feraient double ou triple emploi ? En d'autres termes nous serions parents avec tout le reste de l'humanité ? Alors le racisme dans tout ça ? Bah ! ce n'est pas toujours dans les familles que l'on s'entend le mieux !
A quoi sert ce petit calcul ? A nous montrer que, par le simple fait de respirer, nous sommes solidaire, non seulement de tout ce qui vit mais aussi de tout ce qui existe.
Ce genre de petit calcul nous remplit d'admiration pour la Nature et de révolte lorsqu'on voit certains détruire des êtres vivants pour le simple plaisir !
Conclusion : il faut pour jouir de la liberté un certain cadre, certaines limites. Trop d'espace est générateur d'angoisse. La démission des pouvoirs ( parents, gouvernants ) est sans doute l'une des causes du malaise général actuel.
Une fermière se plaint que le facteur passe trop tard lui déposer son journal. Elle n'est pas avertie à temps des enterrements, qui constituent pourtant un important divertissement dans la vie à la campagne.
Supprimez la rubrique nécrologique, le tirage des quotidiens de province chute de moitié !
Ce n'est pas par compassion que l'on s'intéresse tant aux enterrements :c'est une occasion de sortie, de voir du monde, de se montrer. Et surtout, inavouée, la satisfaction d'être encore là alors que les autres s'en vont.
C'est vouloir faire le bonheur des autres malgré eux. L'Inquisition par exemple vous torturait, vous brûlait vif si nécessaire à seule fin de vous assurer une place garantie au Paradis. C'était-y pas gentil? Vu sous cet angle, il y a beaucoup plus de dictateurs que l'on pense : "Mange, c'est bon pour ce que tu as" par exemple. Ou bien encore m'obliger, sous peine d'amende, à porter une ceinture de sécurité, dans MA voiture, laquelle est en principe assimilable à mon domicile, où donc, je devrais être libre de faire ce que je considère comme bon pour moi. Est-ce que ce n'est pas à moi de veiller sur ma propre sécurité et non le Papa Etat...
A de rares exceptions prés, les "sponsors" ne se pressent pas au portillon pour patronner les émissions à vocation culturelles(1), elles passent trop tard pour le bon populo, celui qui travaille et qui consomme aveuglément. Il doit se coucher à une heure raisonnable est déjà au lit ; à moins qu'il regarde un match de foot ou une "américonnerie"qui seront naturellement entrelardées de pub. Les spectateurs des productions culturelles sont censés présenter un certain discernement, une dose suffisante d'esprit critique.
Pas bon pour la pub ça !
* * *
(1) Un bon point tout de même à E. Lecler qui patronne une courte émission quotidienne sur les livres à une heure de grande écoute. Chapeau !
Beaucoup sont honnêtement sincèrement de bonne volonté. Il en est même qui raisonnent juste...A l'intérieur d'un système erroné :
– A droite : produire plus richesses pour un moindre coût. Il n'ont à la bouche que le mot " croissance ", comme si la production pouvait s'accroître indéfiniment.
– Ce qu'on veut à gauche c'est le partage égalitaire des richesses. Cela part d'un bon sentiment, mais l'égalité, telle qu'ils l'entendent existe-t-elle dans la Nature ?
En vérité, de Richesse, il n'en existe qu'une qu'on ne peut pas multiplier, fabriquer industriellement avec des machines de plus en plus perfectionnées, encore moins partager puisque chacun l'a en lui toute entière, c'est notre qualité d'Homme créé, paraît-il, à l'image de Dieu.
Ce qu'il faut dire c'est : décrassez-vous ; enlevez ce qu'il y a en trop. Ne regardez pas en bas où est la multiplicité, mais en haut où est "l'Unique et sans second". Ne pensez plus en terme de quantité, mais recherchez toujours la qualité partout, en vous-même d'abord et en tout ce que vous faites.
Quel est l'homme politique assez follement sage et "culotté" pour mettre cela à son programme électoral.
Et s'il en existe un, le laissera-t-on faire ?
Selon l'éclairage et l'angle de prise de vue, vous faites de votre sujet un ange ou un " affreux Jojo " Pour qui sait regarder, il est évident que certains cameramen de la télévision sont passés maîtres dans cet art
Il faut également être fou pour en voler un peu, que ce soit par effraction ou à main armée, au risque de se faire prendre et de finir sa vie en prison, alors que la Loi permet, encourage même, d'en gagner beaucoup en exploitant le travail ou la bêtise des autres... Elle est là , la différence entre la Morale naturelle et la sociale.
SILENTU ANGLA LINGVO LERNU ESPERANTON
En ville, les chanteurs de rue chantent en anglais, on va dans n'importe
quel commerce la sono vous déverse dans les oreilles des airs made
in USA, pareil à la radio, à la télé. Bientôt
on ne pourra plus trouver du boulot si on ne jargonne pas la langue d'outre-Atlantique.
Assez, basta, Stop it, we are fed up of english ! si encore
c'étais la langue se Shakespeare, selon moi, elle sonne bien moins
à mes oreilles que l'italien , mais elle est très riche même
si sa grammaire la rend moins précise que l'allemand ou le français.
C'est quand même un langage articulé, contrairement à
l'américain courant qui ressemble plutôt à une suite
de borborygmes (d'une racine indo-européenne blbl ou
brbr
d'ou on a tiré barbare, blablabla, et en tchèque
blby
qui signifie idiot )
Et puis c'en est assez de l'impérialisme d'une langue et à
travers elle d'une anticulture : "american way of life" avec
sa violence, son hypocrisie, son sentimentalisme dégoulinant, ses
hamburgers , ses Macdo son Coca Cola etc.
Une solution existe pour échapper à cette colonisation
:
l’Espéranto.
D'un point de vue pratique, avec environ quinze cents mots on parvient
tout juste à se faire vaguement comprendre en anglais. Avec le même
nombre de racines et une vingtaine d’affixes, grâce à une
grammaire très simple (en tout une vingtaine de règles mais
n’admettant aucune exception) il est possible d’exprimer en Espéranto
toutes les nuances de la pensée.
On pourra nous opposer qu’il n’est pas très élégant
de dire « malbona » (mal-bon) pour mauvais ou « malbela
» mal-beau pour laid. Nous répondrons que l’Espéranto
se veut une langue-outil et non une langue de culture et qu’ainsi on économise
le nombre des racines à mémoriser. Et puis le même
procédé n’existe-t’il pas dans nos langues (voir par exemple
« heureux >malheureux » ou bien « able > unable ».
Sans hésitation, pour nous simplifier la vie et endiguer l’invasion de l’anglais, apprenons et pratiquons l’Espéranto
Pourquoi cette violence à l'aube du vingt-et-unième sciècle ?
J'AI beau ne pas avoir de tendances "mysticovasouillardes" mais je me pose des questions sur la vague de violence aussi bien des éléments que des hommes à l'aube du XXIème siècle.
L'AN 2000 de notre ère n'étant qu'une date dans la vie de la terre qui compte des millions d'années il ne semble pas y avoir de raison objective pour que son avènement soit directement cause de telles catastrophes. Il faut donc chercher ailleurs.
VOICI
l'explication que je propose, étant bien entendu qu'il ne s'agit
que d'une hypothèse parmi l'infinité des possibles.
En admettant le bien-fondé de l'affirmation tantrique que, dans
toute la manifestation, il n'existe, en dernière analyse que deux
composantes : la conscience et l'énergie (divines ou du Principe
ad libitum) on peut considérer que la pensée , consciente,
inconsciente, subconsciente ou superconsciente, est une manifestation de
cette "conscience- énergie" principielle" au même titre que
la lumière, la gravitation, l'électricité ou la chaleur.
SI l'on peut faire un parallèle avec l'énergie lumineuse, tant qu'elle rayonne dans toutes les directions, rien ne se passe de particulier : ombres et lumière. Mais concentrée, canalisée sous forme de rayon Laser elle revêt un pouvoir incroyable capable de transpercer une feuille de métal.
NE peut-on imaginer que l'énergie psychique de millions d'individus inconsciemment concentrée et canalisée dans une même direction t par cette sorte de psychose collective qui accompagne la fin du millénaire n'atteigne une puissance telle qu'elle influe même sur les éléments ?
SIMPLE
question. Qui est capable de répondre ?
Mise à jour de décembre 1999
|