LES DEUX POMMES
LE CENTRE DU MONDE
 IMPERMANENCE
QUI EST "JE"
HOMEOPATHIE
AVOIR, ÊTRE et PARAÎTRE 
ENCORE PARAÎTRE
IMPERMANENCE
LES AUTRES ET MOI
UNE BONNE MÉNAGÈRE
LILA : LE JEU DE SHIVA
157 – Si l'on sait que le moi est cher (à soi-même), l'on doit bien protéger le moi. Pendant chacune des trois veilles, le Sage doit rester vigilant.

158 – On doit en premier s'établir soi-même dans ce qui convient.

Seulement alors on peut instruire un autre. Un tel Sage ne peut être blâmé.

159 – Comme il instruit les autres, il doit agir lui-même. lui-même pleinement contrôlé, il doit contrôler les autres, car difficile, vraiment, est le contrôle de soi.

160 – Le Moi est le protecteur du moi, car quoi d'autre pourrait être un protecteur ? Par un moi pleinement contrôlé on obtient un refuge qui est dur à gagner.

161 – Par le moi seulement, le mal est fait, il est né du moi, causé par le moi. Le mal écrase le non sage comme le damant écrase une gemme dure.

162 – Celui qui est corrompu à l'excès, comme la liane Maluva étranglant un arbre Sal, se fait à lui-même ce qu'un ennemi même souhaiterait pour lui

163 – Faciles à faire sont les choses qui sont mauvaises et non bénéfiques au moi. mais en vérité, très, très dur à faire ce qui est bénéfique et bon.

164 – L'homme insensible qui, à cause des vues fausses, méprise le Dhamma des Arahats, des Ariya et des Justes, fructifie – comme les fruits du roseau Kashta uniquement pour sa propre destruction.

165 – Par le moi seul le mal est fait, par le moi on est souillé, par le moi le mal n'est pas accompli, par le moi on est purifié. Pureté et impureté dépendent du moi. Nul ne purifie un autre.

166 – A cause du bien être des autres, quelque grand qu ' il puisse être, le propre bien être de soi-même ne doit pas être négligé. Percevant bien son propre bien être, qu'il soit fortement appliqué au But.

DHAMMAPADA – XII – VERSETS SUR LE MOI (*)
LES DEUX POMMES
Par une belle matinée d'automne, sur la branche d'un pommier il y avait deux belles pommes, rouge et jaune : ce sont des "Reines des reinettes". Chacune observe l'autre essayant de lui trouver des tas de défauts pour se sentir la plus belle :

– " Elle est terne et moi, comme je brille au soleil. " pense l'une de sa voisine.

– " Elle est beaucoup trop rouge, pense l'autre, on dirait une tomate. " N'oublions pas que "Pomme" est un mot féminin !

Un coup de vent et, "Plouf", la plus mure des deux tombe de sa branche dans une bouse de vache toute fraîche qui se trouvait là comme par hasard.

Celle qui est restée sur l'arbre la considère avec un petit sourire méprisant.

Passe un promeneur qui s'empare d'elle et se met en devoir de la croquer.

– " A tout à l'heure petite prétentieuse ! " lui crie celle qui gît dans le caca.

Eh oui! qui que nous soyons, quels que soient notre situation ou notre rang social, nous ne sommes tous que de la merde transformée, un jour ou l'autre nous en avons été ou nous en serons, c'est ainsi que l'on peut considérer les choses si nous commettons
 

LE CENTRE DU MONDE
Si l'on en croit la Cosmogonie de l'Inde, notre Monde s'organiserait autour d'une montagne centrale nommée le Mont Méru.

La physiologie du Yoga nomme la colonne vertébrale Merudanda : le bâton (danda) du mont Meru. Donc partout où un homme se tient debout, physiquement, moralement ou spirituellement, c'est le Mont Meru, l'axe du Monde.

C est peut - être pour cela que tant de gens se prennent pour le Centre du Monde...

IMPERMANENCE
Une tache au pantalon ou sur la robe, une minuscule éraflure sur la voiture et c'est le drame.

Ce n'est pas tellement par respect pour le travail de ceux qui ont fabriqué l'objet, c'est peut-être un peu parce qu'il coûte de l'argent.

Mais c'est surtout pour une raison plus profonde : même si elle reste inconsciente : l'objet a changé, d'aspect et la cause du drame est qu'à travers son impermanence, c'est notre propre impermanence que nous refusons.

QUI EST "JE" ?
Le mot que nous prononçons le plus souvent au cours d'une vie est "JE" et, bien sûr, nous n'avons aucun doute quant à sa signification. Pourtant il y a autant de "JE" que d'êtres vivant sur la terre – car, en fait nous ignorons comment les animaux perçoivent leur propre individualité – mon "JE" à moi n'est pas, par définition, le même que son "JE" à lui ou que celui de l'autre.

Mais ce qu'il y a de plus troublant c'est que si je cherche qui est "JE", ce qu'est "JE", je ne le trouve pas. Si je dis : "c'est mon corps", ça ne colle pas car il n'y a rien de plus changeant que le corps. Depuis que j'ai commencé à écrire cette page mon corps a bougé, pris différentes attitudes, j'ai respiré, les mécanismes de la vie : digestion, élimination, circulation respiration, ont fonctionné, certaines cellules sont mortes, d'autres se reconstituées. Pas possible trouver permanente, à laquelle on puisse attribuer la définition "JE". De plus, si à la suite d'un accident je me voyais amputé d'un bras, d'une jambe – allons, au diable l'avarice – mes quatre membres et que de plus je devienne aveugle, je en continuerait pas moins à dire "JE".

On pourrait faire la même analyse au sujet de mes perceptions : que je devienne sourd, aveugle, que je sois privé des sens du goût, de l'odorat ou du toucher, je dirais encore "JE". Il en de même à mes réactions au diverses perceptions. C'est la même chose pour les pensées. Tout comme le corps, elles changent en permanence, au point que les Hindous comparent la pensée à un singe ivre, piqué par un scorpion et saute de branche en branche -

J'ai parlé de MON corps, MES sensations, MES perceptions, MES pensées.. MON, MES, sont des adjectifs possessifs, il y a donc bien un rapport de possession entre "JE" et le corps, les sensations les perceptions, les pensées. En toute logique, s'il existe ce rapport entre "JE" et les objets possédés, "JE" ne peut pas être ces objets. Et pourtant "JE" doit bien exister quelque part puisque je dis "JE". Aïe, aïe, aïe ! Que tout cela est compliqué !

Les adeptes de l'Hindouïsme s'en tirent en disant que "JE " est le Jivatman, une manifestation, un reflet ou, disons une émanation, du Principe Suprême, Absolu, Universel, ou Divin comme il vous plaira de la nommer qu'ils appellent Brahman(1). Si l'on veut , c'est comme dire que toutes les formes de feu, des incendies de forêt ou ceux des puits de pétrole au Koweit jusqu'à la minuscule étincelle qui déclenche la combustion dans les cylindre de ma voiture , en passant par la toute petite flamme de mon briquet "Criquet", bien qu'il s'agisse à chaque fois d'un feu individuel unique et bien distinct de tous les autres, sont tous et chacun, une émanation, une manifestation du Principe igné qui est la "Nature du Feu" de la "Feu-ité" si je puis me permettre ce néologisme, Principe dont on constate les effets mais qu'il est impossible d'isoler de ses manifestations pour le mettre en évidence.(2)

Pour les Bouddhistes, "JE" est un moyen facile pour désigner un assemblage de constituants inter- et co-dépendants : le corps, les sensations, les perceptions, les volitions et la conscience discriminative nommés les cinq "Skandhas" dont l'association temporaire, provisoire, toujours changeante malgré une certaine direction générale, constitue ce que nous appelons "JE". C'est, selon une image utilisée par le Bouddha, tout comme un char constitué par la caisse, le timon, l'essieu, les roues, etc. Si vient à disparaître un seul de ces éléments ce n'est plus un char puisque sa fonction de moyen de transport s'évanouit.

Et, comme on peut faire la même analyse pour chacun des constituants, par exemple la roue composée de la jante, des rayons, du moyeu, etc. Chacun de ces éléments pouvant à son tour être subdivisé en ses diverses parties le haut, le bas, le devant, le derrière, à la fin on ne trouve plus que le Vide, la Vacuité qui contient tout, qui est le tout sans être rien de particulier. Avec tout cela nous voici bien avancés, on n'a toujours pas trouvé ce sacré "JE" qui continue à nous échapper. Il faut s'y faire, on ne le trouvera jamais, mais cela ne nous empêchera pas de continuer à dire "JE". à moins que nous parvenions un jour à nous identifier à la Vacuité " But that is another story " comme disait mon vieux frère Rudyard Kipling.

* * *
(1)Ne pas confondre avec Brahma qui est l'une des trois divinités de la " Trimurti " la trinité de l'Hindouisme, ni avec Brahmane la plus élevée des quatre castes.

(2)C'est la " Nature du Feu " qui constitue " l'Elément Feu " des anciens Alchimistes. De même pour les autres " Eléments " Air, Eau, Terre

(retour à Réincarnation)
 
 

HOMEOPATHIE
5CH: La cinquième centésimale hanemanniene, c'est à dire un taux de dilution d'un dix-milliardième, c'est, à un demi-ordre de grandeur près, ce que représente une individualité parmi les quelques cinq à six milliards de bonshommes qui se baladent sur la planète

C'est un genre de calcul qui vous incite à un peu d'humilité,!

Encore un petit calcul, j'adore ça, cela permet de se rendre compte de pas mal de choses.

Nous sommes paraît il environ cinq milliards de bipèdes du type dit " homo sapiens " sur cette boule de glaise. Essayons de nous représenter ce que représente mon petit JE dans tout cela:

On peut se représenter une goutte de pluie comme une petite sphère de 3 à 4 millimètres de diamètre, mettons 3½ pour faire une moyenne, son volume est de 5,36 mm3 soit, en mètres cubes: : 0,00000000536 m3.Comptons-en cinq milliard, chaque goutte représentant une individualité. On trouve 26,3m3 ce qui représenterait une cuve cubique de 2,99m de côté. Ajoutons ou retirons une goutte de pluie à cette cuve. Qui est-ce qui s'en apercevra?

AVOIR, ÊTRE et PARAÎTRE
Il est trois verbes, ou notions, qui sont essentiels dans la vie de tout être humain : être, avoir et paraître.

Il en est pour qui "avoir" est primordial. Si c'est "avoir pour avoir" nous nous trouvons en face de la cupidité.

Bien plus souvent, c'est "avoir pour paraître" il s'agit alors de vanité. C'est souvent le cas de ceux qui souffrent d'une atrophie pathologique de l'ego

Celui qui tient à "paraître pour paraître" est orgueilleux. Celui là, lui est atteint d'une hypertrophie pathologique de l'ego

Un minimum "d'avoir" est nécessaire pour "être".

Simplement "être" c'est à dire avoir tout simplement oublié son ego, n'est le lot que de très rares sages

ENCORE PARAÎTRE
Une belle bagnole, ce n'est au fond qu'un outil, un moyen de transport, un "traîne-con". Un splendide costard, ce n'est, en fait, qu'un assemblage de tissus destiné à se protéger des intempéries et à cacher notre nudité.

Une voiture ordinaire nous transporterait tout aussi bien, un jean et un pull dissimulerait tout aussi bien notre anatomie et nous mettrait à l'abri du froid.

Oui mais voila, la belle bagnole, le beau costume, "ça vous pose un bonhomme". Il faut bien que celui qui est vide à l'intérieur se valorise par un extérieur voyant.
 

Ma Bagnole
IMPERMANENCE
Une tache au pantalon ou sur la robe, une minuscule éraflure sur la voiture et c'est le drame.

Ce n'est pas tellement par respect pour le travail de ceux qui ont fabriqué l'objet, c'est peut-être un peu parce qu'il coûte de l'argent.

Mais c'est surtout pour une raison plus profonde: même si elle reste inconsciente : l'objet a changé, d'aspect et la cause du drame est qu'à travers son impermanance, c'est notre impermanance que nous refusons.

LES AUTRES ET MOI
C'est vrai, on n'est jamais aussi heureux que lorsqu'on pense aux autres plutôt qu'à soi même.

Mais faire passer toujours l'autre avant soi-même, ce doit être avec discernement, sinon on risque, ce faisant, de l'encourager dans son égoïsme. Cela ne ferait de bien ni à lun ni à l'autre

UNE BONNE MÉNAGÈRE
Lorsqu'une maîtresse de maison reçoit des visiteurs, elle s'empresse, en vue de leur visite, de faire un grand ménage. À table elle "met les petits plats dans les grands". C'est bien sûr pour honorer ses hôtes. Mais est-ce que ce ne serait pas aussi pour qu'on ait d'elle une bonne opinion ?
LILA : LE JEU DE SHIVA
Des êtres naissent : Brahma les a créés. Ils se développent pendant un certain temps : Vishnu s'efforce de les conserver en vie. Pour survivre ils vont détruire d'autres êtres puis seront un jour détruits à leur tour : c'est l'œuvre de Shiva.

Certains êtres sont, à nos yeux magnifiques, d'autres affreux à voir. Certaines particules n'existent que pendant une fraction infinitésimale de seconde. Des mondes persistent et tournent les uns autour des autres pendant des millions, voire des milliards d'années mais n'en disparaîtront pas moins dans un avenir indéterminable. Certains insectes ne vivent que quelques heures, la beauté de la rose de dure que quelques jours et celle d'une femme quelques années. Il est des arbres plusieurs fois centenaires. En fait tout cela, à quoi ça sert ? Qu'est - ce que nous sommes venus foutre ici ? Question que se posent les hommes depuis qu'ils savent se servir de leur cervelle.

Pour les Hindous la réponse est simple : c'est Lila le jeu de Shiva. Brahma passe son temps depuis qu'il est réveillé à créer des êtres (1)Vishnu, lui, prend plaisir à leur conserver l'existence aussi longtemps qu'il peut jusqu'à ce que Shiva lui pique ses jouets et s'amuse à les démolir pour que Brahma ait de la matière première pour se divertir à en fabriquer d'autres. Et ça continuera ainsi jusqu'à ce que Brahma ait sommeil et se rendorme pour quelques milliards d'années... Pendant lesquelles il ne se passera rien. (2)

Cette explication m'a longtemps semblé puérile, j'ai longtemps cru que j'étais sur terre pour servir à quelque chose. Je pensais qu'il n'y avait pour l'homme que trois activités importantes :

– se nourrir

– se protéger des diverses agressions, celles des autres êtres, qui eux aussi ont besoin de se nourrir, et des caprices de la météo. Il faut bien s'abriter de la pluie, du froid ou du trop chaud

– et, troisième activité, qui n'est pas la moins agréable, se reproduire.

Or, en observant mon chat, j'ai pu constater que lorsqu'il dort pas, ce n'est ni à se nourrir ni à se reproduire qu'il passe le plus de temps, non plus à se protéger si rien ne vient l'agresser, mais c'est à jouer !

Alors mon regard est revenu sur les hommes. Et qu'est-ce que j'ai découvert ? C'est que, sous prétexte de satisfaire ses besoins élémentaires – ce qui tout comme pour le chat, ne lui demanderait pas une grande dépense d'énergie ni beaucoup de temps s'il s'en contentait – il passe lui aussi la plus grande partie de son temps à jouer.

Voyez un gosse qui joue, comme cela lui parait important : un jour ma fille, qui avait alors deux ou trois ans jouait "à faire la cuisine" sur un tas de sable. Sa mère l'appelle pour déjeuner et la gamine de répondre : "Je peux pas venir, je l'a pas fini mon travail"

Le gamin qui joue au chauffeur de poids lourd est vraiment chauffeur de camion. Vous croyez peut-être que c'est différent pour les adultes ? Pas du tout ! observez bien celui qui joue à être un général, ou un ingénieur, ou un Président de la République, ils se croient vraiment Président de la République, Ingénieur ou Général et sont persuadés qu'il n'y a rien de plus important que leur fonction.

Je me souviens avoir entendu interviewer à la radio un illustre savant spécialiste en physique nucléaire. Comme le journaliste qui l'interrogeait lui demandait si, parfois, il n'était pas inquiet quant aux applications possibles de ses recherches, sa réponse fut quelque chose comme : "Oui bien sûr c'est dangereux, mais c'est tellement une belle manip..."

Celui qui risque sa peau pour traverser l'Atlantique ou le Pacifique en solitaire ou bien pour parvenir au sommet de la plus haute montagne, que croyez vous qu'ils fassent ? Ils jouent à se prouver qu'ils existent.

Comme tout un chacun, vous, moi, au lieu de faire confiance à l'affirmation des sages de l'Inde qui proclament : "Tat tvam asi" : "Tu es Cela" (Cela qui Est, c'est à dire Dieu ou le Principe) et de tenter de le vérifier par la méditation, nous préférons jouer à être quelqu'un. Pas n'importe qui : MOI JE.

Lorsque le joueur n'engage que sa propre existence après tout c'est son problème. Mais là où ça devient grave c'est lorsqu'un quidam tient à se prouver qu'il est un Grand Homme d'Etat ou un Grand Homme de Guerre et qu'il engage la paix ou la vie de millions d'êtres, j'ai envie de crier: "Pouce ! je ne joue plus, arrêtez ce jeu de con." Là alors, je voudrais vraiment voir Brahma se rendormir et moi avec lui : vous vous rendez compte un sommeil profond, sans le moindre cauchemar pendant deux ou trois milliards d'années qu'est-ce qu'on doit être en forme au réveil pour recommence à jouer...

* * *
(1) Selon la cosmogonie hindoue il y a alternance entre des périodes pendant lesquelles le Principe Suprême (le Brahman*) se manifeste : le monde existe (Brahma, le créateur, est éveillé et crée les êtres en permanences) et des périodes pendant lesquelles, le Principe ayant résorbé en soi toute manifestation, Brahma est endormi.

(*) Ne pas confondre Brahma, la première personne de la trimurti la trinité hindoue et le Brahman, le Principe Suprême, impersonnel et non conditionné, dont on ne peut parler qu'en termes négatifs " Neti Neti " ni ceci ni cela.

– (2) Beaucoup plus pragmatique, le Bouddha se refuse à répondre à toute question d'ordre métaphysique ou cosmogonique. Il dit que tout cela est inaccessible à notre compréhension limitée et que de connaître la réponse à ce genre de question ne soulagera en rien les êtres en proie à la souffrance : "Lorsque quelqu'un' un a été blessé par une flèche, il ne se préoccupe pas de l'identité du tireur, ni de la forme ou de la couleur l'arc qui l'a tirée, l'important est de retirer la flèche de soigner la blessure".

Dans mon langage peu conventionnel je traduis ainsi le message du Grand Médecin : " Vous êtes dans la M...., l'important c'est :

– primo de vous en sortir,

– secundo d'essayer de comprendre comment vous vous y êtes mis

– tertio, ayant compris cela essayer de faire le nécessaire pour éviter de vous y remettre et d'y entraîner les autres à l'avenir.
 

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