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Dans ce premier numéro, sont repris des textes de Boccace et de Farîd udîn Attar.

Il traitent chacun à leur manière, celle de Boccace est moins restrictive, des religions présentes dans leur univers intellectuel. Le nôtre est plus large et s'étend à la planète entière. Nous y découvrons des différences et des analogies. Partout la même tension de hommes vers un infini qui les dépasse.

Il est écrit dans l'Ecclésiaste attribué à Salomon : Il n'est rien de nouveau sous le soleil... En 185 Celse remarquait :
 

"Toutes les nations les plus vénérables par leur antiquité s'accordent entre elles sur les dogmes fondamentaux. Égyptiens, Assyriens, Chaldéens, Hindous, Odryses, Perses, Samothraciens et Grecs ont des traditions à peu près semblables. C'est chez ces peuples et non ailleurs qu'il faut chercher la source de la vraie sagesse qui s'est en suite répandue partout en mille ruisseaux séparés. Leurs sages, leurs législateurs, Linus, Orphée, Musée, Zoroastre et autres, sont les plus antiques fondateurs et interprètes de ces traditions, et les patrons de toute culture".


C'est chez ces peuples, et chez les autres, que nous chercherons la source de la vraie sagesse qui est discernement. Dans son livre inittulé "Le Sacré", Rudolphe Otto a relevé unedes correspondances entre les écrits de Shankaracharia et ceux de Maître Eckardt, un de nos amis en découvrant Epictète a trouvé ses écrits très "taoïstes". Nous serons heureux de lui laisser la parole.

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